Non à la destruction de la nature et des terres agricoles. Les routes nuisent à la biodiversité, aux zones protégées et aux réserves en eau potable. Non à l’accroissement de la circulation : augmenter la capacité du réseau routier attire davantage de véhicules et saborde les efforts de protection du climat. Non à l’engloutissement des fonds publics : ces routes démesurées vont coûter plus d’un demi-milliard de francs aux contribuables. Le référendum ouvre la voie à de meilleures solutions – pour l’homme comme pour la nature.